Église Notre-Dame-sur-l’EauDate : Premier quart du XIIe siècle
Description:
Notice complète visualisable en bas de la galerie des images.
Voir aussi https://www.ville-domfront.fr/notre-dame-sur-leau/
Appelée "Notre Dame de dessus l'Eau" dans un document de 1457
Longtemps appelée aussi Notre Dame Sous L'Eau.
Vitraux entièrement réalisés par Gabriel Loire en 1946.
Technique :
Le ChâteauDate : Périodes de construction : XIe siècle, XIIe/XIIIe siècles, XVe siècle
Description:
Adresse approximative issue des coordonnées GPS (latitude et longitude) :
14 Le Chateau (Domfront) 61700 Domfront en Poiraie
Eléments protégés :
Ruines de la Tour maîtresse : classement par arrêté du 10 décembre 1863 ; Enceinte du château : remparts, tours, bretèches, casemates, anciennes chapelles Sainte-Catherine et Saint-Symphorien : classement par arrêté du 18 février 1986
Historique :
Au début du XIe siècle, un premier château en bois est édifié par les seigneurs de Bellême. Henri Beauclerc prend possession de la place en 1092. Devenu roi d'Angleterre et duc de Normandie, il ordonne de grands travaux au château. La construction de la tour maîtresse rectangulaire, un des plus vastes édifices de ce genre en Normandie et même en France, dont il subsiste un angle, lui est attribuée (vers 1100-1120). En contrebas au nord, la chapelle Saint-Symphorien, prieuré de l'abbaye de Lonlay, date de la même époque. En 1152, Henri II Plantagenet épouse Aliénor d'Aquitaine qui reçoit Domfront en douaire. Le couple royal y séjournera à plusieurs reprises. En 1161 une de leurs filles, Aliénor d'Angleterre, y est baptisée (future épouse du roi Alphonse VIII de Castille et mère de Blanche de Castille). Aliénor d'Aquitaine séjourne à nouveau au château avec Richard Cœur-de-Lion. Jean sans Terre s'arrête également à plusieurs reprises au château. En 1202, prévoyant un conflit contre Philippe Auguste, il ordonne le renforcement des fortifications et fait construire la courtine à gaine sur la face orientale du château, la plus vulnérable.
Le mur d'enceinte oriental, le mieux préservé, comprend une courtine à gaine (une galerie de circulation ménagée dans l'épaisseur du mur) percée d'archères. Deux tours polygonales constituent le châtelet d'entrée au débouché du pont-levis. En avant, au XVe siècle, un nouveau mur, un rempart de fausse-braie a été construit afin de protéger la base de la courtine à gaine devenue trop vulnérable aux projectiles de l'artillerie à poudre, et l'espace entre les deux murailles fut comblé pour former un boulevard d'artillerie face à la ville. La tour d'angle sud-est a été transformée en plate-forme d'artillerie.
Au nord, en contrebas de l'actuelle route (construite en 1862), subsiste le mur qui barrait le fossé, avec peut-être les vestiges de la tour d'angle nord-est, une poterne avec mâchicoulis, et une bretèche à l'autre extrémité, angle nord-ouest des remparts de la ville. En 1608, Sully ordonne le démantèlement du château, qui est effectué en 1610. L'intérieur de l'enceinte est alors occupé par des jardins potagers, jusqu'au milieu de XIXe siècle, où les deux-tiers sud sont aménagés en promenade publique. Le rempart oriental est dégagé et restauré en plusieurs étapes (années 1860-1870, 1910-1911, et dernièrement 1990-2010).
Source :
J-Ph CORMIER
ARCD
Technique :
église Saint JulienDate : Construction de 1924 à 1933
Description:
à retrouver ici la description complète
https://monumentum.fr/monument-historique/pa00125312/domfront-en-poiraie-eglise-saint-julien
Technique :